The Prague Post - Biathlon: Dorothea Wierer, les JO-2026 et surtout l'après dans le viseur

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Biathlon: Dorothea Wierer, les JO-2026 et surtout l'après dans le viseur
Biathlon: Dorothea Wierer, les JO-2026 et surtout l'après dans le viseur / Photo: Michal Cizek - AFP

Biathlon: Dorothea Wierer, les JO-2026 et surtout l'après dans le viseur

Disputer des Jeux olympiques à domicile, à une poignée de kilomètres de sa maison d'enfance, pourrait être l'apogée de la carrière de Dorothea Wierer, mais ces JO-2026 arrivent peut-être trop tard pour la biathlète italienne de 35 ans.

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A bout de souffle et peut-être déjà la tête ailleurs: tant bien que mal, "Doro", engagée à partir de vendredi à Hochfilzen (Autriche) dans la deuxième étape de la Coupe du monde, prépare le dernier rendez-vous de sa carrière débutée à l'âge de dix ans.

La lauréate des Coupes du monde 2018-19 et 2010-20 pourrait même faire ses adieux à la compétition sur le stade d'Anterselva, au terme de la mass-start olympique le 21 février 2026, sans aller jusqu'au bout de la Coupe du monde.

Avec une ou plusieurs médailles autour du cou ?

A l'entendre, ce n'est pas le plus important: "Ce que j'espère, a-t-elle confié mi-octobre à l'AFP, c'est vivre ces JO du mieux possible, les aborder plus ou moins en forme et dire au revoir au biathlon en laissant un beau souvenir".

"Gérer les attentes, cela va être bien sûr quelque chose de particulier, parce que cela se passe vraiment à la maison et devant des gens que je connais. Je veux bien faire et montrer ce que je vaux", a poursuivi la native de Brunico, l'une des villes principales du Haut-Adige, cette région germanophone du nord-est de l'Italie, à une vingtaine de kilomètres d'Anterselva.

"Mais il faut aussi être réaliste, j'ai 35 ans et peu de biathlètes ont accompli de grandes choses à cet âge-là", a-t-elle prévenu.

- "Me sentir libre" -

"Quoi qu'il se passe, cela ne changera en rien tout ce que le biathlon m'a offert, m'a permis de vivre, c'est pourquoi j'essaie d'être la plus sereine possible, mais si ce n'est pas très facile", a ajouté Wierer.

Même si elle a remporté la première course individuelle de l'hiver il y a dix jours à Ostersund (Suède), l'Italienne est désormais dans l'ombre de sa compatriote Lisa Vittozzi, N.1 mondiale en 2023-24 et de retour cet hiver après une saison 2024-25 blanche en raison d'une blessure au dos, mais également des Allemandes, des Norvégiennes et des Françaises.

Elle reste cependant l'une des figures les plus connues de son sport.

Grâce à son palmarès: deux gros globes de N.1 mondiale, quatre petits globes de spécialité, 18 victoires en Coupe du monde, quatre titres mondiaux pour un total de douze médailles et enfin trois médailles olympiques, toutes en bronze (relais mixte en 2014 et 2018, sprint en 2022).

Et aussi par sa personnalité, ce qui lui a permis, chose rare pour une biathlète, de découvrir l'univers de la mode ou de la télévision, comme l'an dernier lors des JO-2024 de Paris.

Cela lui vaut aussi bien des critiques sur les réseaux sociaux et, à son goût, beaucoup trop d'attention de la presse people.

Il ne faut pas trop la pousser pour qu'elle reconnaisse qu'elle est fatiguée, moralement et physiquement, par l'enchaînement des saisons, en particulier les dernières perturbées par des bobos et maladies, par les contraintes du haut-niveau aussi.

Dans un documentaire réalisé par Red Bull, elle reconnaît entretenir désormais "une relation amour/haine avec le biathlon".

"J'aimerais me sentir libre, simplement libre", lance-t-elle dans ce documentaire intitulée "I am coming home".

"Quand on est athlète, on ne peut pas toujours avoir une vie normale, il me manque des petites choses et je suis impatiente de les vivre (...) Je voudrais d'abord profiter un peu de la vie et ensuite fonder une famille", confie Wierer.

G.Turek--TPP